| témoignage collaborateur
Découvrez Baptiste, consultant SecOp : une aventure Synetisienne « sur-mesure » !
Synetisien depuis plus de 6 ans, Baptiste Deligny a vu grandir et évoluer Synetis. De l’appartement transformé en bureau aux locaux du 8ème arrondissement de Paris, Baptiste nous raconte son parcours, ses expériences et meilleurs souvenirs au sein de Synetis.
Peux-tu nous présenter ton parcours professionnel ?
J’ai débuté mon parcours professionnel par un DUT informatique que j’ai poursuivi dans une école d’ingénieur (l’UTT). Je me suis, pendant cette période-là, spécialisé en système réseau et télécommunication. La sécurité était, pour les dernières années, l’une des filières possibles.
Lors d’un forum à l’école, alors que j’étais à la recherche de mon stage de fin d’étude, j’ai rencontré Rémi Fournier et une ancienne collègue au stand Synetis. Ils m’ont tout de suite convaincu par la bonne ambiance qui émanait de cette petite structure, qui proposait des sujets vraiment techniques (et pas seulement des missions de conseil comme beaucoup d’autres acteurs à l’époque). J’ai déposé mon CV et l’aventure commençait !
Qu’est-ce qui te plaît chez Synetis ?
C’est un peu une réponse en deux temps que je vais te donner. Des choses m’ont plu par le passé. Nous étions une quarantaine de collaborateurs quand je suis arrivé. Je me rappelle encore de ce petit appartement converti en bureaux avec 1 salle de réunion – qui servait de salle de déjeuner. Tout le monde y jouait aux dés le midi, en mangeant ! Quand on grossit, comme Synetis depuis mes débuts dans ces bureaux, c’est un côté que l’on perd un peu – malgré le fait que dans chaque équipe de Practices nous gardions tout de même ce fort côté « humain ». On fait des choses vraiment sympas tous ensemble !
Ce qui me plaît, aujourd’hui chez Synetis, c’est le fait que j’ai toujours pu faire ce qui me passionnait. J’ai toujours été écouté et placé sur les sujets qui me plaisaient vraiment. Il y a toujours eu un chemin créé, pour moi, vers ce que je voulais faire. Synetis, c’est un management flexible qui est à l’écoute de ses collaborateurs. Par exemple, quand j’ai voulu me lancer en tant que Chef de Projet, on m’a encouragé et tout simplement dit « et bien écoute, essaie ! ». Synetis nous permet de progresser et d’être vraiment les acteurs de nos carrières.
Quel est ton rôle chez Synetis ?
Je suis, actuellement, Architecte et Chef de projet chez Synetis. Cela dépend des missions, des besoins et des compétences attendues par nos clients. Dans notre équipe SecOp, il y a une vision que j’aime bien : pouvoir s’essayer à différents rôles, avec le soutien de nos managers.
Effectivement, on aime bien penser que le Chef de projet n’est pas un rôle hiérarchique ou à temps plein – c’est juste quelqu’un qui a des tâches sur un projet. Tu peux être pilote sur un projet, et consultant sur un autre. Ce qui nous permet de voir plus de choses mais également, et surtout, cela nous assure que nos chefs de projet gardent un contact fort avec la technique et les solutions qui entrent en jeu sur leurs projets !
Je peux également être Architecte sur les technologies ou les systèmes (PKI, réseaux spécifiques) que je maîtrise plus que d’autres.
En interne, je suis également référent opérationnel. C’est un manager « light » qui a sous sa responsabilité 3 juniors en suivi. Cela me permet de faire un premier pas dans le management – et j’adore.
Pourquoi as-tu choisi de faire de la cybersécurité (et plus précisément de la sécurité opérationnelle) ton quotidien ?
Comme indiqué plus tôt, j’ai fait mes études en DUT informatique. On y apprenait surtout le développement. Mais, en deuxième année, on nous a fait un cours de système/Réseaux et, là, je me suis rendu compte que c’était ce que je voulais faire (car c’était encore plus retors que le développement !). En informatique, il y a un stéréotype qui a la dent dure – car il est vrai : on aime bien quand ça ne fonctionne pas, on aime bien passer des heures à chercher pourquoi ça ne fonctionne pas… et le système réseau, pour ça, c’est magnifique parce que ça ne fonctionne jamais ! Plus sérieusement, on aime les énigmes. Ensuite est venu le choix de la spécialisation en sécurité, et celui-ci a suivi un raisonnement similaire (peut-être à tort d’ailleurs, mais bon) : quand tu veux faire les choses biens, c’est difficile, et les faire de manière sécurisée ensuite, ca l’est encore plus, le casse tête final !
Concernant la sécurité opérationnelle, mon histoire est un peu atypique. Quand je suis arrivé chez Synetis, ses équipes et practices n’existaient pas. On faisait tous un peu de tout. C’était terriblement formateur. Lorsque l’on a commencé à créer des équipes au sein de Synetis, par rapport aux sujets que j’avais abordés et que je préférais, je me suis naturellement tourné vers la SecOp – car il y avait tout à faire (nous étions alors 3 dans l’équipe), c’est ça qui est intéressant.
Mon poste a aujourd’hui bien évolué, mon temps se mélange entre challenges de gestion et management des équipes, création et structuration des offres. Je découvre la technique en avant vente, je définis les méthodologies – c’est tout aussi passionnant !
Comment décrirais-tu ton aventure Synetisienne ?
Je pense que le mot le plus adéquat pour décrire ces 6 premières années chez Synetis c’est “sur-mesure”. J’ai vécu de nouvelles expériences en masse, et toutes respectaient mes envies, mes intérêts. J’ai toujours pu prendre la place que je voulais, en adéquation avec la croissance de l’entreprise elle-même.
Je suis arrivé dans une petite structure qui a su m’écouter et me laisser l’opportunité de grandir sur des sujets qui me plaisaient. Des sujets que je ne maîtrisais pas forcément parfaitement, mais où j’ai pu véritablement me former.
As-tu un souvenir positif à nous raconter de ta vie chez Synetis ?
Mon premier séminaire à Marrakech est l’un de mes meilleurs souvenirs chez Synetis – pour le moment. Nous avons passé, tous ensemble, trois jours sur place pour travailler, mais également découvrir la ville grâce à des excursions et des activités comme le buggy & quad dans le désert, les visites du jardin Majorelle et du Souk de Marrakech.
Mais je garde également un super souvenir des premiers projets de l’équipe avec Rémi Habraken, maintenant Practice Manager SecOp – quand n’importe quel atelier rassemblait alors 100% de l’équipe.
Un message à faire passer aux talents qui souhaiteraient nous rejoindre ?
N’ayez pas peur d’aller vers l’inconnu, vers les sujets que vous ne connaissez pas ! Par défaut, choisissez toujours l’option la plus complexe ou obscure, choisir la difficulté permet d’avancer et de grandir.
Le mot de la fin
La SecOp est une practice qui se structure, qui n’a pas fini de grandir ! Nos nouvelles offres MSSP et SOC, par exemple, qui nous permettent de garder un lien fort avec nos clients et de les accompagner au-delà de l’intégration, prennent enfin leurs envols. L’aventure ne fait que commencer.